26 février 2006
Plaidoirie de l'impossible
Oh seins du monde, ma coquille si fragile s'émoie de temps d'indifférence de votre part ...Pourquoi me retrouve-je donc si ardument si solitaire, alors que tout mon corps, espace de ma mémoire et de mes sens, pleure un signe de douceur et de tendresse tant sollicitées ...Pourquoi suis-je la pièce non-maîtresse d'une construction qui pourtant sans moi ne peut prendre forme ? Oh esprits du puissant bénissés mon humble coquille de vermicelle pour me donner la force de battre le jaune de l'espoir et ainsi permettre à mon âme la providence d'une destinée ...
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